Le samedi 27 avril 2013 à 23:50:20 (+0200), Jérôme Fenal a écrit :
L'un des avantages de traduire en ligne est de suivre le mantra du libre : release often, release early. Et ça évite les effets tunnel.
Oui enfin, on a aussi la main sur la publication. Lorsqu'on décide qu'un guide est publiable dans notre langue, on peut ouvrir un ticket et demander une publication (j'ai aussi les droits, à une époque je le faisais bien plus régulièrement…)
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Pour la relecture, j'ai ma petite idée. À creuser avant de vous en parler. L'idée serait de se retrouver et de faire ça ensemble. Sauf personne n'est au même endroit.
Déjà, niveau coordination on (l'équipe) pourrait convenir d'une réunion IRC à certains moments clés (tel que « 3 semaines avant publication ») histoire qu'on partage nos efforts correctement. Bien sûr, certain d'entre vous n'ont pas besoin qu'on mette en avant ce qu'il faut faire, ce n'est qu'une idée. On pourrait avoir une réunion préparant la traduction finale des logiciels (fedora-main) puis une seconde préparant la publication des guides (donc pendant la phase beta).
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J'ai ouvert le ticket suivant : https://github.com/transifex/transifex/issues/219
Mon commentaire prochainnement.
De mon côté, j'avance pas mal sur les derniers contenus de fedora-main :
- setroubleshoot est terminé
En même temps, je trouve dommage qu'on ai à traduire des messages d'erreur. C'est comme les API, ça ne devrait pas se retrouver dans les POT. Enfin, ce n'est pas vraiment à nous, traducteurs, de définir ce qui est un message d'erreur et ce qui est véritablement l'application.
- Policycoreutils est en très bonne voie. L'avantage est qu'un
paquet de chaînes de ce dernier est à peu de choses près présent dans le premier.
Pour ces deux-là, je ne traduis pas directement en ligne, mais utilise le logiciel Lokalize qui a l'avantage de pouvoir travailler sur des corpus importants, lorsque Lotte les limite aux seuls partages de mémoires de traduction configurés par les gestionnaires des documents.
Il y a yum par exemple, qui est difficile de traduire en ligne. En effet, le nombre d'espace définit l'alignement de la sortie du logiciel, et donc, il faut compter nos caractères un par un. C'est bien plus pratique avec un éditeur de texte à chasse fixe.
PS : pour info, le Français était redescendu à la 3e place sur les avancements de traduction après l'Espagnol et le Japonais, nous sommes à nouveau en seconde place, et dans 300 chaînes, à la première.
Oui j'ai vu ça, ils sont vraiment allé vite pour nous remonter. Mais l'objectif n'est pas le 100 % traduit, mais plutôt le maximum avec 0 % d'erreurs :)
Ce qui permettra aussi de se poser un peu, et de faire comme les hongrois : relire massivement en ligne tout ce qui a été traduit jusque maintenant, mais relire vraiment. J'ai fait le test il y a quelques semaines sur anaconda, ça se fait bien, et permet de trouver des perles. Et si on n'est pas sûr, on laisse non validé/non relu, et on demande à d'autres d'aider : tout est ligne, donc facile à trouver.
Je me dois de rebondire là-dessus. Nous n'avons toujours pas de « relecteurs » officiels. On en a parlé à un moment donné, on avait un début de liste et une définition de comment passer relecteur, il serait peut-être temps de s'y remettre. Mais : - il y a de nombreux logiciels dont la traduction ne bouge plus depuis des années, ils ont normalement été relus hors ligne ; - il y a des logiciels dont la traduction évolue sans cesse, ce devrait peut-être être notre priorité (c'est le cas de la documentation) ; - la relecture n'est utile qu'au traducteurs, les mainteneurs n'en tiennent toujours pas compte (et ça ne va pas changer rapidement).