Le Sat, 15 Nov 2008 18:56:39 +0100,
Martin-Gomez Pablo <pablo.martin-gomez(a)laposte.net> a écrit :
Bonjour,
En tant que coordinateur de la traduction, je me dois de te remettre
en ta place ; car plus le temps passe, plus on découvre que tu
commites des traductions que je qualifie de « sauvages », qui
court-circuite tous les efforts de la liste en matière de « Q&A » en
vue d'avoir une traduction de qualité.
Le groupe de traduction a des règles, qui sont là pour être
respectées pour travailler dans les meilleures conditions possibles ;
une communauté qui accepte que l'on transgresse ses propres règles
devient une anarchie où aucun travail d'équipe n'est possible,
elle accepte son autodestruction. Je suis sûr que ce n'est pas ton
objectif.
Ainsi, je te prie de suivre les règles instaurées, disponible sur le
wiki du Fedora Project sur la page suivante :
http://fedoraproject.org/wiki/L10N/Teams/French#La_traduction_et_les_logi...
Je veux bien envisager que tu trouves les règles trop strictes,
inaptes à un travail un minimum d'indépendant. Je t'invite dans ce
cas-là, à nous soumettre tes idées de changement dans ces règles, qui
demandent, il est vrai, un certain dépoussiérage.
Pour réparer ces erreurs, je te prierais de nous fournir les logiciels
sur lesquels tu as travaillé pour que l'on puisse effectuer une
relecture après coup.
En espérant que tu comprennes ces requêtes,
Cordialement,
Pablo
Je rajouterai ma couche personnelle là dessus.
De part la société dans laquelle tu travailles, tu la représentes, dans
tes actes et dans ton la qualité de ton travail.
RedHat est l'entreprise qui contribue le plus au monde dans le
développement du logiciel libre. Elle a donc su au fil des années se
montrer à même de travailler avec les contributeurs volontaire et
sait respecter leur travail.
Je reconnais que le monde du logiciel libre est à part, éloigné des
règles de travail courantes. Mais c'est un fait, il faudra t'y faire si
tu souhaites continuer de travailler avec nous.
Toutes les suggestions sont bonnes à prendre, comme le mentionne Pablo.
Bien cordialement,
Thomas Canniot